(Transcription à l'écrit sous la vidéo)
Pourquoi entend-on autant parler des compléments de collagène ? À quoi servent-ils et sont-ils vraiment efficaces ? C’est ce que nous allons voir dans cette vidéo.
Au passage, si vous voulez tout savoir sur les compléments alimentaires, je vous rappelle de télécharger notre ebook gratuit, le « Guide Pratique des Compléments Alimentaires ». Le lien est dans la description sous la vidéo.
Définition du collagène
Bonjour à tous ! Pour commencer, qu’est-ce que le collagène ?
C’est une protéine fabriquée naturellement par notre organisme. Le collagène est l’un des composants principaux des os, du cartilage, des tendons, des ligaments, de la peau ou encore des vaisseaux sanguins.
Bienfaits du collagène sur l'organisme
Sa mission : apporter fermeté et élasticité à ces différents tissus du corps humain.
Le collagène est donc indispensable à la souplesse et à l’éclat de la peau mais aussi au maintien des articulations (1). C’est ce qui en fait un ingrédient bien connu des crèmes anti-rides ou encore des produits contre les douleurs articulaires.
Baisse de production avec les années
Il faut savoir que notre production de collagène commence à diminuer à partir de 30 ans, en partie en raison de la réduction de notre production d’hormones. Cette baisse des niveaux de collagène est accentuée par la pauvreté en collagène de l’alimentation moderne.
À partir de 40 ans, la production naturelle de collagène par l’organisme diminue de 1 % par an. Après 70 ans, cette diminution peut aller jusqu’à 30 % par an.
C’est ce qui explique, avec l’avancée en âge, l’apparition des rides et de certains troubles articulaires, la plus grande fréquence des tendinites, une certaine fragilisation des os, etc.
Notez que la fumée de cigarette, la consommation excessive d'alcool et l’excès de sucre dégradent également le collagène et perturbent sa production.
Collagène de type I, II, III
Concernant les différents types de collagène pour mettre rapidement les choses au clair sachez qu’on en recense 28. Les 3 types de collagène les plus courants sont :
- le collagène de type I, le plus résistant et le plus abondant. On le retrouve dans la peau, les tendons ou encore les tissus osseux ;
- le collagène de type II, qui se loge dans le cartilage, au sein des articulations ;
- et le collagène de type III, qui se présente sous forme de fibres réticulaires. C’est un composant important des organes, de la peau et des vaisseaux sanguins.
Les sources alimentaires de collagène
Maintenant que l’on connaît le collagène, ses bienfaits la baisse de sa production avec les années et ses 3 types principaux, découvrons les sources alimentaires de collagène.
Cette protéine se trouve essentiellement dans les produits animaux, en particulier dans les aliments issus de leurs os et de leur peau.
Les aliments riches en collagène sont donc l’os à moelle, le bouillon d’os, la peau de poisson, les fonds de bœuf ou de volaille, la salade de museaux, le pied de porc ou de veau, la gélatine animale, etc.
Des aliments certes peu présents dans la nourriture moderne. C’est pourquoi il existe des compléments de collagène pour pallier ce manque.
Mais ce n’est pas tout. Votre corps a besoin de substances comme le zinc et la vitamine C pour produire et maintenir le collagène. Heureusement, ces substances sont beaucoup plus faciles à trouver : vous ingérez du zinc en consommant du saumon, de la viande rouge ou des œufs, par exemple, et de la vitamine C, en consommant des kiwis, des légumes verts ou encore des agrumes.
Quel complément de collagène choisir ?
Comment choisir votre complément de collagène ? Avant tout, il faut savoir que le collagène est à 57 % composé de 3 acides aminés : la glycine, la proline et l’hydroxyproline.
Lorsqu’on consomme du collagène, que ça soit via l’alimentation ou via un complément, le collagène est dégradé en ces 3 acides aminés. Ces derniers pourront à leur tour être utilisés par le corps pour produire entre autres, son propre collagène.
Côté compléments, certains privilégient le collagène natif, c’est-à-dire ni dénaturé ni hydrolysé. C’est ce que recommande le docteur Trentham, chercheur à Harvard et spécialiste du collagène de type II, en se basant sur des études scientifiques consacrées aux troubles articulaires inflammatoires. Le complément UC-II®, par exemple, vous apporte du collagène de type II natif traditionnellement réservé à la sphère articulaire.
D’autres préfèrent le collagène hydrolysé, c'est-à-dire « fragmenté » qui présente une très grande biodisponibilité, de plus de 90 %. Les grandes molécules de collagène y sont déjà divisées en morceaux plus petits par hydrolyse, et deviennent donc des dipeptides ou des tripeptides au cours du processus de digestion (2). Ces peptides à chaîne courte passent très facilement la barrière intestinale et peuvent influencer directement l’activité de la peau, des os ou du cartilage.
Des études ont clairement constaté l’efficacité du collagène hydrolysé : certains des peptides résultant de la digestion du collagène hydrolysé, en particulier ceux qui contiennent de l’hydroxyproline, peuvent par exemple s’accumuler dans la peau jusqu’à 96 heures après ingestion. Selon les compléments de collagène hydrolysé, sachez qu’on trouve généralement :
- du collagène bovin ou porcin (de type I et III), issu de la peau et/ou des os de bœuf ou de porc ;
- du collagène ovin (de type II), généralement issu de sternums de poulets ;
- du collagène marin (principalement de type I) issu de la peau, des écailles et des arêtes de poisson.
Notre collagène marin constitue une excellente source marine, pure et brevetée, de collagène de type I hydrolysé. On retrouve aussi des peptides de collagène dans notre routine beauté, Daily Beauty. Vous pouvez trouver d’autres compléments à base de collagène en tapant « collagène » sur le moteur de recherche du site supersmart.com, comme Tendo-Fix, qui combine 4 types de collagène différents.
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