0
fr
US
WSMCA
44078470

Mon panier

Votre panier est vide.
Menu

Carence en vitamine D : symptômes et solutions

Près de 50% de la population mondiale serait concernée par un manque de vitamine D. Nos équipes font le point et reviennent sur tout ce qu’il faut savoir sur cette vitamine : ses rôles, son importance, les risques en cas de déficit, les solutions de prévention, les traitements… Suivez le guide.

carence en vitamine d

Avant toute chose, une brève définition s’impose. La vitamine D est une alliée indispensable de l’organisme. Elle contribue à de nombreuses fonctions et est essentielle à certains mécanismes tels que la minéralisation osseuse et la division cellulaire. Vous la connaissez peut-être aussi sous le nom de « vitamine du soleil ». En effet, l’organisme est en mesure de la synthétiser, mais uniquement en présence de soleil. Autant dire qu’une carence en vitamine D peut fréquemment survenir ! Saison hivernale, journées courtes, météo maussade… ce sont autant de situations où les niveaux de vitamine D peuvent se retrouver au plus bas !

Une carence en vitamine D : qu’est-ce que c’est ?

Deux définitions sont possibles. Tout d’abord, donnons une définition générale à la carence en vitamine D. C’est un état de manque ou de déficience. La synthèse de cette vitamine est insuffisante pour couvrir les besoins journaliers de l’organisme. Un apport externe, via l’alimentation ou les suppléments en vitamine D, devient alors nécessaire !

Ensuite, il est possible de définir la carence d’un point de vue scientifique/biologique. Il faut ici évaluer les niveaux en vitamine D au sein de l’organisme, ce qui n’est pas aussi simple que cela paraît. En effet, une prise de sang permet de mesurer les concentrations des substances circulant dans le corps. Or, la vitamine D est stockée à différents niveaux de l’organisme, notamment au niveau du foie, des muscles et des tissus adipeux.

Pour évaluer la présence ou non d’une carence, il faut alors s’intéresser à des formes dérivées de la vitamine D circulant dans le sang dont la 25-dihydroxyvitamine D. À titre d’exemple, les instituts américains de la santé (NIH pour National Institutes of Health) ont défini les seuils suivants :

  • une concentration sérique en 25-dihydroxyvitamine D inférieure à 30 nmol/L est considérée comme une carence en vitamine D associée à l’apparition de troubles graves ;
  • une concentration sérique en 25-dihydroxyvitamine D comprise entre 30 nmol/L et 50 nmol/L est considérée comme une déficience en vitamine D fragilisant la santé d’individus sains ;
  • une concentration sérique en 25-dihydroxyvitamine D supérieure à 50 nmol/L est considérée comme un apport correct en vitamine D.

À quoi sert la vitamine D ? Pourquoi est-elle si importante ?

Comme cela est évoqué précédemment, une carence ou une déficience en vitamine D peut fragiliser la santé. Il faut en effet savoir que cette vitamine joue de nombreux rôles au sein de l’organisme. On la connaît souvent pour son importance pour la bonne santé des os. La vitamine D accroît en effet l’absorption intestinale du calcium et du phosphore, deux minéraux clés pour la solidité des os ! Ces deux minéraux participent aussi à la minéralisation des dents et au maintien d’un cartilage en bonne santé.

Le lien entre phosphore, calcium et vitamine D ne s’arrête pas là. Cette vitamine régule aussi l’élimination de ces minéraux par les reins. Globalement, elle permet de maintenir les niveaux en phosphore et en calcium à des taux fixes pour couvrir les besoins des tissus. Autrement dit, un apport adéquat en vitamine D peut contribuer à prévenir un manque de calcium et de phosphore et, ainsi, éviter certains troubles associés tels que l’ostéoporose.

La vitamine D participe également à de nombreuses autres fonctions au sein de l’organisme. Elle intervient notamment dans le développement et le renouvellement des cellules du corps humain en contribuant au processus de division cellulaire. Ce rôle lui confère une importance à de nombreux niveaux de l’organisme.

Il est également connu que la vitamine D contribue au maintien de la fonction musculaire en jouant particulièrement un rôle au niveau neuromusculaire. Les études montrent qu’elle concourt aussi au bon fonctionnement du système immunitaire en agissant notamment dans les processus de l’inflammation.

Quels sont les symptômes d’un manque de vitamine D ?

L’un des problèmes du manque de vitamine D est qu’il peut passer inaperçu pendant un certain temps, tout en provoquant des dégâts au sein de l’organisme. Un début de déficience en vitamine D peut en effet n’engendrer aucun symptôme, mais induire une hypocalcémie, c’est-à-dire un taux anormalement bas de calcium dans le sang. À terme, ce déficit en calcium peut avoir de nombreuses répercussions, en particulier au niveau des os.

Au fur et à mesure que le manque de vitamine D augmente, certains premiers symptômes peuvent apparaître :

  • une fragilité osseuse, avec un risque accru de fractures ;
  • une réduction du tonus musculaire, avec une sensation de fatigue, une baisse des performances physiques et cognitives, une perte de motivation, etc. ;
  • l’apparition de crises de tétanie et de convulsions.

Quels sont les risques d’une carence en vitamine D ?

Traiter une carence en vitamine D le plus tôt possible est d’autant plus important qu’elle peut avoir des répercussions majeures. Dans certains cas, une anémie peut se manifester. C’est un manque d’hémoglobine qui se traduit par un mauvais transport de l’oxygène dans le sang et, ainsi, une mauvaise alimentation de l’organisme. Faiblesse musculaire, sensation de grande fatigue… sont autant de conséquences d’une anémie.

Parmi les risques d’une carence en vitamine D, deux anomalies sont également souvent évoquées :

  • le rachitisme chez l’enfant, qui est dû à un défaut de minéralisation du tissu osseux durant la croissance et peut induire des malformations ainsi que des douleurs osseuses ;
  • l’ostéomalacie chez l’adulte qui se traduit aussi par un défaut de minéralisation du tissu osseux, provoque des douleurs au niveau des os et peut entraîner des déformations osseuses.

Carence en vitamine D et ostéoporose : qu’en est-il ?

Les études montrent qu’il existe bel et bien un lien entre une carence en vitamine D et l’ostéoporose. Comme cela est indiqué précédemment, la carence peut induire une ostéomalacie. Or, ce défaut de minéralisation osseuse est reconnu pour être un facteur de risque de l’ostéoporose. Pour rappel, cette maladie du squelette est caractérisée par une diminution de la densité osseuse et associée à un risque accru de fractures.

Il est reconnu que prévenir une carence en vitamine D permet de limiter le risque de développer de l’ostéoporose. De la même façon, les professionnels de santé appellent à la vigilance en ce qui concerne le déficit en calcium qui est également un facteur de risque de l’ostéoporose. Pour prévenir ou pallier ces deux types de déficiences, des formulations spécifiques ont été formulées. C’est le cas du complément alimentaire MultiMineral Complex qui permet de contribuer à augmenter les niveaux en calcium et en vitamine D. Ce supplément participe également à l’apport en magnésium, en zinc, en bore, en silicium ou encore en chrome. Ce sont tous des composés qui concourent au bon fonctionnement de l’organisme !

Comment éviter une carence en vitamine D ?

Il est tout à fait possible de prévenir une carence en vitamine D. Pour cela, il faut savoir qu’il existe deux solutions complémentaires pour couvrir les besoins de l’organisme.

La première solution est dite endogène : la vitamine est synthétisée au sein de l’organisme sous l’action des rayons ultraviolets émis par le soleil. C’est plus exactement sous l’action des rayons UVB. Ces derniers pénètrent dans la peau et convertissent le 7-déshydrocholestérol en provitamine D3, laquelle sera ensuite transformée en vitamine D3. C’est l’une des deux formes de vitamine D naturelle. Toutefois, malgré l’efficacité de cette synthèse, elle n’est pas réalisable dans toutes les conditions ! Il faut déjà avoir un temps radieux avec un beau soleil puis pouvoir s’exposer à l’extérieur et non derrière les vitres de son bureau, car celles-ci bloquent les rayons UVB. De plus, même si les conditions précédentes sont réunies, les professionnels de santé appellent à la vigilance quant à une surexposition au soleil et recommandent de se protéger au maximum des rayons UV (vêtements, chapeaux, crèmes solaires…). Autant dire qu’une autre source de vitamine D est indispensable !

La seconde solution est quant à elle dite exogène : la vitamine provient d’un apport externe via l’alimentation et/ou la supplémentation nutritionnelle. Plusieurs sources sont alors disponibles, chacune pouvant apporter une forme de vitamine D différente. Les experts distinguent deux formes :

  • la vitamine D2, qui est d’origine végétale ;
  • la vitamine D3, ou cholécalciférol, qui est quant à elle d’origine animale et correspond à la vitamine D naturelle synthétisée par l’organisme.

Quels sont les besoins en vitamine D ?

Avant de détailler plus amplement comment trouver de la vitamine D naturelle, il convient de s’intéresser aux besoins de l’organisme. Étant donné l’importance de cette vitamine et les risques d’une carence, les autorités de santé publique ont établi des apports nutritionnels recommandés. Toutefois, les seuils de référence peuvent légèrement varier d’un pays à l’autre. Ces variations ont plusieurs explications, mais la plus évidente est la différence d’exposition au soleil. Le climat, les saisons, la durée des journées… sont autant de paramètres qui varient d’un pays à un autre, influencent la production endogène de vitamine par exposition au soleil et ont un impact sur les besoins de l’organisme.

À titre d’exemple, l’autorité française de santé publique estime que la production endogène de vitamine D couvre de 50 à 70 % des besoins de l’organisme. Sur cette base, les experts ont établi les apports nutritionnels recommandés suivants :

  • 5 µg par jour chez les adultes et les enfants de plus de 3 ans ;
  • 10-15 µg par jour chez les personnes âgées.

Aux États-Unis, les autorités de santé publique n’ont pas pris la même position. Elles se sont basées sur une exposition solaire minimum, c’est-à-dire sur une production endogène faible, et ont établi les apports nutritionnels recommandés suivants :

  • 10 µg par jour chez les enfants de moins d’un an ;
  • 15 µg par jour chez les enfants de plus d’un an et les adultes ;
  • 20 µg par jour chez les personnes âgées de plus de 70 ans.
  • Où trouver la vitamine D ?

    Comme nous l’avons spécifié précédemment, il existe deux formes de vitamine D. Commençons par la vitamine D3 qui est la plus connue et la plus étudiée puisqu’elle correspond à la forme produite naturellement au sein de l’organisme. Elle est présente dans les produits d’origine animale. Parmi les aliments les plus riches en vitamine D3 naturelle, les poissons arrivent en bonne position, avec, notamment, l’huile de foie de morue (250 µg pour 100 g). Le chinchard, l’espadon, la sardine, le hareng, le maquereau ou encore le saumon affichent également une teneur supérieure à 10 µg pour 100 g. Bien sûr, les suppléments en vitamine D3 défient toute concurrence. Le dosage de ces compléments alimentaires a en effet été élaboré pour répondre de manière optimale aux besoins de l’organisme.

    Moins réputée que la précédente, la vitamine D2 peut quant à elle être apportée par des aliments d’origine végétale. Elle est par exemple présente à hauteur de 10 µg pour 100 g dans les cacahuètes. On la trouve également dans d’autres graines ainsi que dans des matières grasses végétales qui peuvent en contenir jusqu’à 10 µg/100 g. De manière plus surprenante, il est aussi possible de retrouver de la vitamine D2 dans le cacao en poudre et dans des champignons comme les morilles et les cèpes.

    Comment traiter la carence en vitamine D ?

    Après avoir parlé longuement de prévention, intéressons-nous aux solutions de traitement de la carence en vitamine D. Il faut pouvoir pallier rapidement un manque pour éviter ou traiter les complications qui pourraient survenir. Et pour cela, la supplémentation apparaît comme une solution idéale et un traitement naturel de la carence en vitamine D ! Il existe en effet aujourd’hui différents suppléments de vitamine D3, chacun ayant un dosage différent afin de répondre aux besoins de chacun. Au-delà du dosage, il est aussi possible de faire varier la posologie pour compenser de manière rapide et optimale le manque de vitamine D !

    À titre d’exemple, la prise d’une gélule de vitamine D3 dosée à 5000 UI permet un apport de 125 µg.

    La carence est-elle seulement une question de synthèse et d’apport insuffisants ?

    Non ! Jusqu’ici, cet article a principalement évoqué deux causes de la carence en vitamine D : la synthèse endogène insuffisante et l’apport exogène trop faible pour couvrir les besoins de l’organisme. À ce stade, il est important de noter qu’il existe d’autres raisons possibles d’une déficience en vitamine D. Heureusement, la supplémentation apporte également une réponse efficace à ces causes !

    Par exemple, un manque peut être lié à un défaut d’absorption au niveau du tube digestif. Cela signifie que la vitamine D ingérée n’est pas absorbée et n’est donc pas utilisée par l’organisme. Selon les cas, on peut parler d’un problème de biodisponibilité. Pour éviter celui-ci, les équipes de SuperSmart ont travaillé d’arrache-pied pour proposer des formulations biodisponibles pour une dissolution et une absorption optimales.

    Parmi les causes d’une carence en vitamine D figurent aussi une perte excessive ou une augmentation des besoins de l’organisme. Une fois encore, une cure nutritionnelle peut permettre de compenser le manque et d’éviter les complications.

    Cure en vitamine D : quels bienfaits espérer ?

    Il est reconnu que la prise de suppléments de vitamine D peut concourir à prévenir ou traiter une carence. Par conséquent, cette cure nutritionnelle peut présenter de nombreux atouts. Plusieurs études ont notamment montré qu’elle pourrait contribuer à prévenir l’ostéoporose en limitant le déclin de la densité osseuse. Dans la continuité de ces travaux, des chercheurs ont mis en évidence son efficacité dans la prévention des chutes et des fractures.

    Les bienfaits d’une cure en vitamine D ont également suscité l’intérêt des chercheurs en ce qui concerne d’autres niveaux de l’organisme. Leurs travaux suggèrent que cette vitamine pourrait jouer un rôle dans la prévention de plusieurs troubles, dont l’hypertension artérielle, le diabète de type 2 ou encore la sclérose en plaques. Une association entre la consommation de vitamine D et la prévention des caries dentaires a également été mise en évidence.

    Des résultats encourageants ont également été obtenus dans la lutte contre le cancer. Il semblerait que la vitamine D puisse avoir des effets préventifs dans les cancers du côlon, de la prostate et du sein. Des études complémentaires sont attendues pour approfondir et confirmer les bienfaits de la vitamine D contre les cancers.

    Supplément en vitamine D : lequel choisir ?

    Que ce soit pour prévenir ou traiter une carence en vitamine D, le choix du complément alimentaire n’est pas anodin. Plusieurs paramètres doivent en effet être pris en compte pour choisir le meilleur supplément de vitamine D adapté à vos besoins. Parmi les questions à se poser, figurent par exemple :

    • le format de la vitamine D proposée : est-ce de la vitamine D3 ou D2 ?
    • le dosage : quels sont vos besoins ?
    • le format : préférez-vous des gélules ou un spray de vitamine D ?
    • la marque : quelle est l’expertise de l’entreprise ?

    NB : La vitamine D fait encore aujourd’hui l’objet de nombreuses études. De nouveaux résultats peuvent venir contredire ou compléter cet article. En cas de doute, il convient de se rapprocher d’un professionnel de santé.

    Références scientifiques

    1. Institute of Medicine, Food and Nutrition Board. Dietary Reference Intakes for Calcium and Vitamin D. Washington, DC: National Academy Press, 2010.
    2. R. Nair, A. Maseeh, Vitamin D: The "sunshine" vitamin, J Pharmacol Pharmacother, Avr. 2012, 3(2):118-26.
    3. B. Vande Berg, et al., L’osteomalacie en 2009, Journal de Radiologie, Volume 90, Issue 10, Oct. 2009, Page 1188.
    4. L. M. Ward, et al., Vitamin D-deficiency rickets among children in Canada, CMAJ, Jul. 2007, 177(2):161-6.
    5. E. Hyppönen, et al., Intake of vitamin D and risk of type 1 diabetes: a birth-cohort study, Lancet, Nov. 2001, 358(9292):1500-3.
    6. A. G. Pittas, et al., Vitamin D and calcium intake in relation to type 2 diabetes in women, Diabetes Care, Mars 2006, 29(3):650-6.
    7. R. Krause, et al., Ultraviolet B and blood pressure, Lancet, Août 1998, 352(9129):709-10.
    8. K. L. Munger, et al., Serum 25-hydroxyvitamin D levels and risk of multiple sclerosis, JAMA, Déc. 2006, 296(23):2832-8.
    9. D. Wolpowitz, B. A. Gilchrest, The vitamin D questions: how much do you need and how should you get it?, J Am Acad Dermatol, Fév. 2006, 54(2):301-17.
    10. M. F. Holick, Vitamin D: the underappreciated D-lightful hormone that is important for skeletal and cellular health, Curr Opin Endocrinol Diabetes, 2002, 9:87-98.
    11. M. F. Holick, et al., Vitamin D deficiency, N Engl J Med, Jul. 2007, 357(3):266-81.
    12. J. C. Souberbielle, Épidémiologie du déficit en vitamine D, Geriatr Psychol Neuropsychiatr Vieil, 2016, 14(1) : 7-15.
    13. G. Jones, Pharmacokinetics of vitamin D toxicity, Am J Clin Nutr, Août 2008, 88(2):582S-586S.
    14. B. Wharton, N. Bishop, Rickets, Lancet, Oct. 2003, 362(9393):1389-400.
    15. L. M. Ward, et al., Vitamin D-deficiency rickets among children in Canada, CMAJ, Jul. 2007, 177(2):161-6.
    16. A. R. Webb, et al., Influence of season and latitude on the cutaneous synthesis of vitamin D3: exposure to winter sunlight in Boston and Edmonton will not promote vitamin D3 synthesis in human skin, J Clin Endocrinol Metab, Août 1988, 67(2):373-8.
    17. H. M. Pappa, et al., Vitamin D status in gastrointestinal and liver disease, Curr Opin Gastroenterol, Mars 2008, 24(2):176-83.
    18. R. P. Heaney, et al., Long-latency deficiency disease: insights from calcium and vitamin D, Am J Clin Nutr, Nov 2003, 78(5):912-9.
    19. M. F. Holick, Vitamin D. In: Shils ME, Shike M, Ross AC, Caballero B, Cousins RJ, eds. Modern Nutrition in Health and Disease, 10th ed. Philadelphia: Lippincott Williams & Wilkins, 2006.
    20. A. W. Norman, H. H. Henry, Vitamin D. In: Bowman BA, Russell RM, eds. Present Knowledge in Nutrition, 9th ed. Washington DC: ILSI Press, 2006.
    21. C. Cranney, T. Horsely, S. O’Donnell, H. Weiler, D. Ooi, S. Atkinson, et al. Effectiveness and safety of vitamin D. Evidence Report/Technology Assessment No. 158 prepared by the University of Ottawa Evidence-based Practice Center under Contract No. 290-02.0021. AHRQ Publication.
    22. Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), Vitamine D, www.anses.fr (Consulté le 01/08/2018).
    23. European Commission, EU Register of nutrition and health claims made on foods, ec.europa.eu (Consulté le 01/08/2018).
    24. Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Rayonnement ultraviolet, www.who.int (Consulté le 01/08/2018).
    25. INTERSUN OMS – le projet UV mondial, Soleil et santé, Comment profiter du soleil en toute sécurité, www.who.int (Consulté le 01/08/2018).

    Partager

    Commentaires

    Vous devez être connecté à votre compte pour pouvoir laisser un commentaire.

    Cet article n'a pas encore été commenté, soyez le premier à donner votre avis

    Paiement sécurisé
    32 Années d'expérience
    Satisfait ou remboursé
    Envoi rapide
    Livraison gratuite* dès $25